lundi 23 mai 2011

Elle prend la pose

Aujourd'hui, j'ai vécu une première fois à noter d'un petit caillou blanc dans mon petit calendrier intime : un modèle est venu poser pendant le cours d'arts plastiques.

3 poses de 15 minutes, une pose de 30 minutes. Ca va très vite.
Il faut saisir les proportions, ne pas perdre le fil d'un geste du modèle, rester très concentrée, se retenir de dessiner ce qu'on sait du corps pour s'en tenir à ce que l'on voit.

Et ainsi découvrir un autre corps. C'est forcément étonnant.

Des bras très très fins, des mains fortes, des cuisses fines, une toison pubienne fournie, un visage anguleux et pourtant de la douceur dans tout cela, un buste tout menu, une petite taille et des muscles tout en longueur...
Elle va venir à plusieurs cours et je me réjouis de renouveler l'expérience.

A la première pose, debout, j'ai commencé à trop grande échelle, la jeune femme est coupée au mollet. Je recommence; j'ai recommencé à trop grande échelle à nouveau. Zut, c'est le métier qui rentre; mais j'aime bien mon tracé.


Deuxième pose debout, le résultat est très ressemblant de ce que je vois, ça m'encourage dans l'exercice, bien que j'ai des difficultés avec les pieds, mais impossible de s'attarder dessus.

Troisième pose, assise en légère torsion. L'angle est difficile, la pose met tout le monde en difficulté. Je passe de mon dessin à la réalité en me demandant ce qui cloche et je ne trouve pas, le prof d'ailleurs me dit que non c'est bien ça. C'est vraiment intéressant. Pourtant le résultat ne me plait pas beaucoup, je n'ai pas eu le temps d'ombrer et cela joue peut-être, et la bouche n'est pas juste.

Quatrième pose, couchée, je m'éclate. Je me régale, je trouve le résultat très ressemblant. Le prof ne trouve rien à y redire et m'incite à continuer à ombrer. Quand le modèle se relève pour se détendre et fait le tour des chevalets en disant que ça la motive, elle marque un petit temps d'arrêt devant le mien avec un doux sourire. J'espère qu'elle se sent belle.
    
Elle reprendra la pose 10 minutes et je tenterai un autre angle dont j'ai à peine pu poser quelques traits.
Le cours est passé à une vitesse folle et j'ai un peu mal partout mais je suis très heureuse de ce moment.

Vivement la prochaine fois!

jeudi 19 mai 2011

De 20 à nos jours

20 Ans...
Chirac est élu le jour de mon anniversaire/ je passe en 2ème année de psycho, les cours sont denses/ je vis seule à Paris dans un studio sous les toîts et j'adore ça/ mon amoureux depuis 3 ans passe ses mercredi soir et week-end chez moi (et j'adore ça)/ je suis accro à ce mec/ je passe mon permis le jour des attentats dans le métro/ je passe mon été à être vendeuse rue de Longchamp/ je deviens experte en lingerie de luxe (et je découvre ma taille réelle de soutif)/ j'ai une nouvelle amie qui compte, j'espère que ça va durer/ je fais de l'auto-stop dans Paris sous la neige pendant la grande grève/ je me fais enfin (un peu) à côtoyer autant de filles en cours/ je me familiarise (un peu) avec les jupes/ j'ai les cheveux de plus en plus courts/je parts au ski en février avec la famille de mon amoureux/ Je me fiance en mars un peu flipée mais heureuse/ je peints et je joue du saxophone pour me détendre entre les révisions/ je fais du yoga avec le prof de psychophysio/ je vais chez l'ostéopathe/ j'écoute beaucoup la radio/ je flâne au Trocadéro quand enfin je ne révise pas/ on découvre une vraie amitié de couple/ j'aime le cinéma indépendant/ je rêve de voyager, le monde est si grand et les gens si nombreux.

Aujourd'hui
Sarko n'ose pas fêter ses 4 ans de mandat la veille de mes 36 ans/ je suis Psychologue depuis 12 ans/ j'ai aussi passé un autre diplôme/ je vis dans une grande maison à 2 pas de Toulouse et j'adore ça/ je suis toujours avec le même amoureux, et toujours amoureuse, on s'est épousé en 97/ nous avons ensemble 4 garçons magiques/ j'aime bien me déplacer en vélo mais que quand il fait beau/ je n'ai jamais cessé de porter de la jolie lingerie/ mon amie n'est plus nouvelle mais compte énormément/ je m'émerveille de la solidarité féminine/ j'adore porter des robes depuis des années/ j'ai les cheveux de plus en plus longs/ je me suis remise à la peinture tous les lundis et c'est un bonheur pour moi/ Je ne sais plus jouer du saxophone/ j'ajoute la médecine chinoise à l'ostéopathie, je pratique les Amap, Biocoop et herboristeries/ mon amoureux fais plus de ski avec mes fils qu'avec moi/ je fais du Pilates/ j'écoute toujours autant la radio/ je flâne place Saint-Georges quand je ne courre pas trop/ j'ai enfin le temps de lire vraiment/ j'envisage de me mettre au tir à l'arc/ notre amitié de couple ne s'est jamais démentie/ j'aime toujours le cinéma indépendant/ je rêve de voyager plus souvent, le monde est si grand et les gens si nombreux.

mardi 17 mai 2011

C'est vrai que ...

... notre jardin a "fait du chemin"!
;-)
Ce sont vos posts qui m'indiquent que vous n'aviez pas vu le résultat tout fini!

Pour ceux qui n'auraient pas suivi:
On se serait bien passé initialement de ces travaux là, surtout quand à l'intérieur il reste encore à faire (et restait encore plus à l'époque), mais quand il faut tout démollir pour changer une conduite bouchée par des débrits de chantier (zennnn), au final, on fait à son propre goût après, et ça on ne le regrette pas. Du tout! Je préfère de loin notre rampe en pierre au chemin et escaliers carrelés d'avant!

avant...


pendant... après!  


Allez, gageons que dans 1 an la maison sera très près de notre rêve en terme de goût. J'avais tablé sur 6 ans quand on l'a acquise avec son intérieur mochissime, on tient le bon bout!
Ensuite, ce sera comme toutes les maisons, toujours un peu à faire pour l'entretenir...

 Spéciale dédicace pour Telle... (je t'embrasse!)

le doux moment



photo iphone, désolée, je veux bien partager ma sieste mais pas au prix de sortir du hamac! hihihi!

On est pas bien là?



Je vais me faire un petit thé  et me glisser dans mon hamac avec mon bouquin.Et profiter de tant de calme autour de moi.

lundi 16 mai 2011

Chouette, une semaine toute neuve!

Eh, les filles, la semaine précédente est terminée, ouaiiiii!!!

Mon fiston est rentré de Paris tout à l'heure avec plein de sourires dans les récits et des fourmis dans les jambes, à nous raconter le coucher de soleil au deuxième étage de la tour Eiffel, le jardin des plantes, le resto indien et le resto chinois (avec dessert! il fallait que mon papa attende d'être grand-père pour offrir le dessert au resto chinois!:^)), les trouze-mille km à pied à découvrir Paris en long en large et en travers, avec ses yeux tous neufs de petit garçon de 8 ans.

J'ai réussi à déjouer la pourtant coriace secrétaire du Dr. Bip qui voulait absolument coller le rendez-vous de contrôle (censé être 10 jours plus tard) de mon fiston à propos de son doigt cassé, demain matin ("ah mais ça ça fait que 5 jours", lui dis-je, "m'en fous" me répond-elle presque), pile à l'heure de mon rdv ophtalmo que j'ai depuis 6 mois... le genre de rdv indéplaçable. Soit tu y vas soit tu reprend ton tour dans 6 mois. Sans oublier que j'ai l'accrochage de mes tableaux  1/4 d'h plus tard (haha!!! j''expOse les filles! Quoi c'est l'expo du cours d'arts plastiques? C'est à la mairie de ma ville de 26 000 habitants quand même...)... Bref ça m'emmerdait profondément son rdv et elle s'évertuait à me dire que c'était soit ça soit rien non rien rien rien à faire sinon je n'avais qu'à le faire faire par mon médecin traitant... qui me dit que vu la nature de la fracture, et comme en plus c'est l'hôpital qui a gardé les radios initiales, elle ne préfèrerait pas. La dessus la maîtresse, que je préviens en allant chercher le petit frère, me rappelle que demain c'est LA sortie scolaire de fin d'année avec pique-nique pitou pitou au village gaulois. Moralité mon fils la louperait & serait dans mes basques toute la journée pour l'occasion.
Je rappelle donc la secrétaire de Bip et j'en rajoute une couche de la liste d'emmerdement que son rdv à la noix me cause. Ouf voilà que le cerveau s'irrigue et elle vérifie s'il y a eu des désistements cette semaine et oh ben voilà, vendredi 15h30 c'est très bien!!!!...


J'ai récupéré ce soir le cours d'arts-plastiques loupé cet aprèm' pour cause de retour de l'enfant prodigue.

La femme de ménage est arrivée à l'heure.


Ca commence bien, non?!

samedi 14 mai 2011

sacrée semaine!

Il y a des semaines dont on sait à l'avance qu'elles seront assez fatiguantes, parce que le chéri sera absent, parce qu'il y a dedans des rendez-vous qui comptent en plus de la logistique, alors ont prend une grande respiration et on y va.
Je me suis répété l'adage donné par une amie -"heure après heure fais ton labeur"- pendant plusieurs jours et je trouve que finalement vu la semaine que j'ai passé, je suis plutôt moins fatiguée que ce que je croyais.
Car ma semaine a, en plus, connu en plus ses "petits rebondissements".
N°3 s'est blessé au petit doigt de la main droite au centre de loisir. Mais ne s'est plaint a personne là-bas. Il a attendu l'arrivée de sa maman chérie, à 18h, pour annoncer qu'il avait mal au doigt... qui ressemblait à une petite paupiette recroquevillée et un peu blême à la base. Gloups.
Une rapide évaluation mentale de la situation m'a amené à penser: "et merde!"
Donc récupérage de n°4, larguage de n°1a (sortant d'un rdv psy)+n°4 à la maison où n°1b nous attendait, avec consigne de baigner et pyjamater n°4 et de bien s'occuper de lui jusqu'à mon retour, filage (si je veux) chez le radiologue avec n°3 et verdict sans appel: "cassé à la base du doigt, allez chez le docteur". Oh yeah me dis-je. 1ère fois qu'un de mes enfants se casse quelque chose, peut-être qu'il faut que je m'estime heureuse étant donné que 1) ce n'est que le petit doigt et 2) j'ai des enfants depuis 11 ans et demi. Belle perf quand même si l'on ne considère pas que 1a a déjà subi un certain nombre de points de sutures. Passons.
Prévenage de docteur que j'arrive (j'invente des mots je sais). Verdict une fois que c'est notre tour, à 18h55: "Ah, mais c'est cassé & déplacé! Je ne peux pas mettre une attelle moi-même il doit voir un orthopédiste là. Vous devez aller à l'hôpital, désolée".

Une rapide évaluation mentale de la situation m'a re-amené à penser: "et merde!".
Appelage de maman (pour une fois que mes parents sont présents à Toulouse, décidément dans ma mouise je suis bénie des Dieux cette fois! Car mes parents sont des gens qui ont démontrés ces dernières années, sans aucunes contestation possible, que bien qu'ils aient un domicile ils ne tiennent pas en place et n'y restent rarement plus de 7 jours d'affilée), pas libre mais ouf elle n'a pas besoin de sa voiture et envoie mon père illico rejoindre les 3 mouflets au logis.
Carapatage aux urgences pédiatriques.
Un mercredi soir. Confirmation des deux "et merde!" précédents.
Attente interminablissime. Mon fils est un ange. Je n'en reviens pas. Il reste 4 h le cul sur sa chaise sans moufter, sans trépigner. Mon gesticulator de compet'. La prochaine fois qu'il me fait péter un cable à une messe je lui pète un doigt.
Une sorte de messager de la paix vient nous voir de temps en temps avec son badge "professionnel" pour nous faire un petit brin de causette. Il fait ça avec tout le monde. Mon fils lui répond gentillement, l'air de faire du social pour pas faire de peine au monsieur qui vient parler au gens mais qui ne sait pas trop quoi leur dire. Ca m'amuse et m'épate à la fois. D'autant que je vois bien que fiston trouve le gars un peu benêt, ce qui n'est pas loin d'être mon propre point de vue. Gesticulator, un futur psy?
Au moins on sait à qui s'adresser de temps en temps pour savoir combien de personne avant son tour.
A 20h il y en a 7, ok. A 22h encore 4, on commence à flipper. A 23h encore 2, ah ouaiiiiii. A minuit c'est notre tour et on croit naïvement que dans 20 minutes on pourra s'évader de la cours des miracles. Que nenni.
On ne sortira qu'une heure plus tard, après un anti-douleur costaud, une demi-heure d'attente en salle de plâtre sous fond d'hurlements en provenance de la salle de sutures, une réduction de fracture sous gaz plus ou moins hilarant ("maman j'ai adoré avoir la tête qui tourne!" "ah oui?..."), une radio de contrôle et enfin une délivrance d'ordonnance et la promesse d'un rdv de contrôle dans 10 jours.
Arrivés chez nous à 01h15 du mat, le ventre vide, on a avalé un sandwich, et libéré mon papa qui n'avait pas posé son *ul aussi longtemps depuis des mois voire années sans s'endormir, et n' avait pas détesté regarder un polar à la télé.
Autant vous dire qu'après avoir déposé n°4 à l'école le lendemain, on s'est tous les deux recouchés.


La femme de ménage (oui c'est nouveau, il est vraiment top le père Noël) a annoncé qu'elle ne viendrait pas, et même si ça m'a saoûlé, parce que si elle est déjà venue 4 fois elle n'est jamais venues aux mêmes horaires, et que son manque de fiabilité m'irrite déjà, je dois dire que ce jour-là j'étais plutôt contente de ne pas l'avoir dans les pattes. Hinhin, 1/4 d'heure après n°1a m'appelait pour que je vienne le chercher au collège parce qu'il avait 3h de cours qui avaient sauté...

Le lendemain, à savoir hier,  il y a eu aussi le départ à 7h du mat' hier pour aller donner une formation à 60 km de chez moi dans un endroit où je n'avais jamais mis les pieds, qui a commencé par la paire de lunettes de soleil qui se disloque quand je l'ouvre -alors que je ne sais pas conduire sans lunettes de soleil, quasi- le GPS qui décide de trépasser à 30 km de l'arrivée, et le téléphone qui se met en veille d'écran toutes les 2 minutes quand j'essaie de me repérer avec lui, sans compter qu'il prétend que je dois tourner à droite là tout de suite dans le champ sur le petit chemin de terre pour lapins quitte à rouler sur un grillage.
N'empêche que je suis arrivée, à l'heure, merci aux joggueuses qui m'ont guidées, et que j'ai assuré.
Vous n'avez pas compris.
Je vous re-situe.
J'ai bossé.

J'ai bossé quoi, j'ai donné une formation pendant 3 heures et ça s'est super bien passé, et je remets ça le 9 juin, et en septembre/octobre. J'ai bossé!!!
13 mois que ça ne m'était pas arrivé. J'ai adoré. Comme c'est bon de re-bosser!
Moyennant quoi l'idée que je cogite, à proposer à des cliniques près de chez moi, risque de faire un léger boom de productivité intellectuelle.
D'autant que j'ai reçu ma convoc' à pôle emploi. Ca fait deux mois que j'y suis inscrite, pas l'ombre d'une ombre d'une annonce à l'horizon intergalactique dans mon domaine croyez-moi et je suis convoquée dans 3 semaines pour dire ce que j'ai fait pour chercher. Sinon ils me radient.
Oh Mon Dieu quelle horreur! Je risque d'être radiée d'un organisme qui ne me paie rien et qui ne me propose rien?! Enfer et damnation! Comment vais-je dormir avec une telle épée de Damoclès?
...

Chéri est rentré, ça c'est bien.
Bibou et sa main enturbannée s'en sont allés avec mes parents à Paris pour visiter cette capitale qu'il n'a jamais vue, c'est son cadeau de Noël (et il n'ira pas en cours lundi, tant pis), je bien bien suis contente pour lui.
Tic et Toc les grands loustics viennent d'embarquer leurs bardas pour passer une nuit sous la tente (et la pluie) avec leurs uniformes de gastronomes en culottes courtes, mais ça, c'est géré par leur papa.
Donc aujourd'hui enfin, cette après-midi et ce soir, c'est le grand même de répis de la semaine, car demain je suis en formation dans le Languedoc pour une grosse journée...

Il ne reste donc plus au logis avec moi que Petibou, qui s'est organisé ce matin un "parcours de gym" dans le salon... et s'est ratatiné derrière le fauteuil club. Le front et le nez ont été tartinés d'hémoclar au milieu des larmes.
3h après sa bosse sur le front est molle. Vraiment molle. Il faut que j'aille voir le médecin de garde vous croyez?

Après ça, certains prétendent que les mères au foyer ne font rien de leurs journées...

mercredi 11 mai 2011

l'heure est grave...

Je sais que je n'ai pas bloggué depuis longtemps les filles, je suis à fond.

Je ne sais pas comment je faisais quand je bossais, je me demande comment je vais faire si je reprends réellement (on y songe on y songe, entre soft ou rien sauf par à-coup parfois mon coeur balance, mais je m'égare).

Bref je ne sais pas trop s'il faut dramatiquement en rire ou comiquement en pleurer... mais voilà ce qui m'arrive:






Je n'ai plus un gramme de cette laine.

...

J'ai manifestement totalement foiré mal évalué la quantité nécessaire, n'est pas la poule qui veut, je vous le concède, mon intuition m'a lâchée au mauvais moment ce jour-là, elle devait être en train de fricoter avec toutes ces petites choses qu'on cherche partout et qu'on ne trouve jamais quand on en a besoin mais qui réapparaissent 20 fois les jours suivant. Je suis sûre qu'elles organisent ensemble des raves dans la 4ème dimension ni vu ni connu, le jour où je trouve leur planque je met une balise gps dessus. (je me ferai bien une petite rétrospective Hitchkock là... quand j'aurai le temps. Un jour. ... pfff).

Donc je disais, je n'ai plus un gramme de cette laine.

Pitié les filles, je sais que c'est risible... vous voulez bien regarder dans vos paniers s'il ne vous reste pas un chouia (30g? 50? 20 je prends quand même!!!) de laine de la droguerie modèle Récup', coloris Piment d'Espelette, bain 027... PLEASE!!!
Vous aurez en retour ma reconnaissance éternelle, au moins, et plein d'ondes positives, et la joie d'un petit garçon, et de sa maman, et d'avoir fait une BA, et vidé votre panier d'un fond de laine digne de faire un sac de couchage à un playmobil. Ce serait TOP!
La boutique de Toulouse n'en a plus, celle de Bordeaux non plus, et vu que le téléphone n'a pas re-sonné à ce sujet je pense que les autres non plus... ou bien la fille n'a pas envoyé le fax promis aux autres Droguerie(s).

Chéri me dit que je n'ai plus qu'à détricoter le pull pour Petitou fait avec amour.... Bouhouhouuuuuuu!

dimanche 1 mai 2011

Un brin de poésie (utile) pour le printemps


Acquis chez Pouic Land Toulouse hier avec une idée derrière la tête, transformé ce matin ingénieusement en applique par mon chéri, le nichoir Serenade de Miho, non content d'enfin cacher une bête et vilaine ampoule en haut d'un escalier, donne un joli petit air bucolique à notre entrée.
Cuicuicuicuicui! :^)