détail d'un tableau chez mes parents
Matinée entière sous la couette, la tête et les paupières trop lourdes, les oreilles sifflantes. Et des envies flippantes de repasser un scanner dans l'année. Encore ce constat que je ne tiens pas le coup physiquement après 8 mois d'arrêt de travail.
Du thé avec une amie passée à l'improviste, du doliprane 1000, un coup de fil trop long, une salade composée.
Une journée vide mais fatiguante.
Et maintenant l'heure des retrouvailles des enfants, je n'ai rien fait d'autres de concret que m'occuper d'eux ces 3 derniers jours. Décider de ne pas leur faire subir.
Envie d'un bain.
Et d'aller mieux demain pour sortir voir cette collection privée au musée que je regretterai sinon.
Et de trouver 3 boîtes à trésor sans difficultés pour une réunion chez nous demain soir.
J'essaie d'éviter de me rappeler qu'il faudra vraiment enfin passer l'aspirateur et lessiver les sols avant.
Et je contemple mon fiston gentil à son retour du collège, allé chercher des bûches pour alimenter la cheminée et contemplant lui même le feu qui crépite devant ses pieds.
3 commentaires:
courage,
une sieste et ça repart ?
moi aussi j'ai des journées un peu vides en ce moment... au fin fond du vide, on doit bien trouver quelque chose non?
Roca, il a fallut plus d'une sieste mais ça repart! (on va pas y aller trop fort non plus, en douceur!)
Quand c'est vide il reste le contenant ma belle. Le contenant tout poli par l'ancien contenu, qui renvoit le son, la couleur, ou la lumière, selon de quoi il est fait. On ne sera jamais rien. Jamais. Je t'embrasse
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